Wolf creek

Le cinéma de genre australien fut a aun époque l'un des plus inventifs et l'un des plus interessant du monde, au travers de titres comme Mad Max, Razorback ou encore Long Week end, l'australie à une époque a fait croire a tout le monde qu'elle deviendrait le nouveau temple du cinéma de genre, Hélas aprés un début tonitruant le cinéma de genre australien mourut en enfantant encore quelque fims de médiocre qualitée....

Jusqu'a ce Wolf Creek, véritable renaissance de ce cinéma si particulier et pourtant si balisé, L'histoire est simple, Trois jeunes gens un peu fétard s'en vont passer un week end a Wolf Creek, un site sur lequuel s'est écrasé une météorite, sur les lieux ils vont rencontrer un homme étrange...
Voila un pitch basique pour un fillm qui ne l'est pas du tout, Mc Lean (le real) prend son temps pour installer petit a patit un climat de tension et d'oppression, trop long diront certains ce a quoi je répondrai un catégorique MONUMENTALE ERREUR (Jack Slater style) car cette montée en tension est si subtile qu'a la quarante cinquiéme minute quand rien de terrible ne s'est encore produit le spectateur tremble a la seule vue de cette camionette débarquant au loin.
Il craint également que le film ne soit qu'un éniéme survival de base, il se trompe lourdement car a bien des égards le fiklm se rapproche bien plus de massacre a la tronçonneuse.

En effet Mclean filme caméra a l'épaule des scénes d'une intensité et d'une violence proprement sidérante, ce qui propulse le film dans le quasi documentaire!!! et fait croire au spectateur a un sordide fait divers tout a fait plausible, réaliste en tout point le film ne bascuile jamais dans le gore, mais devient extrêmement choquant lorsqu'il décrit l'agonie et le calvaire des personnages, je n'en dirai pas plus pour ne pas gacher la surprise , mais sachez seulement que certaines scénes de Wolf creek sont de purs éléctrochocs!!!
Le bad guy est un monument, mix improbable entre Mic Dundee et leatherface il déclame deux tonnes de punchline a la seconde pour le plus grand plaisir du spectateur

Pourtant le film n'est pas éxempt de défauts, notemment dans une certaine persistence a sombrer dans le jeunisme, et un certains manque de rythme, qu'importe le film remplit son role de Rollercoaster en proposant un voyage au coeur de l'australie (En HD proposant des images Sublimissimes) et au coaur de l'horreur, Mc Lean est un Réal a suivre de trés trés prés!!!

Je trouve justement qu'il évite tous les clichés (ou presque) du jeunisme qui sévit actuellement dans le cinpéma américain. Alors oui, on a à faire à des jeunes qui aiment bien faire la fête. Ca c'est pour les 5 premières minutes du film. Par la suite, je trouve que le film adopte une approche très "adulte", à savoir premier degré, sans musique "neo-metal" ou je ne sais quoi pour illustrer les images superbes - tellement bien qu'on ne remarque quasiment jamais qu'on est en face d'un film en HDTV. J'ai apprécier le fait que le film prenne son temps pour introduire les personnages, évite de tout de suite te péter à la gueule dès l'ouverture. Non pas que je n'aime pas ça, mais on retrouve ici un véritable travail de "préparation atmosphérique", et ça fait réellement du bien.

Bref, un très bon film, le grand oublié du palmarès de Gérardmer où le FRAGILE de Jaume Ballaguero raffla presque tout, sauf le grand prix qui est allé dans les pattes du veau mutant du bon ISOLATION.

Oui excellent film en effet trés brute et choquant.
Non a mon avis il n'évite pas toujours le jeunisme notemment dans sa déscription du personnage masculin.

Mais ce n'est que mon avis.

J'ai beaucoup aimé. Mais par contre, j'aurais certainement enlevé la première heure où les ados se rendent à Wolf Creek, c'est beaucoup trop long et parfaitement inutile à mon avis !!!

Mais pour le reste du film, ca fonctionne bien et j'adore le fait que le rôle du personnage principale change d'un protagoniste à l'autre qu gré des événements.

Dans mon cas, j'avais aussi beaucoup plus apprécié L'AUBERGE (The Hostel) qui se situe dans un genre completement different.

Black knight a écrit:

Dans mon cas, j'avais aussi beaucoup plus apprécié L'AUBERGE (The Hostel) qui se situe dans un genre completement different.

tu parles du film d'Eli Roth ?

Oui, c'est bien ça.

Alors, tu n'as pas encore vu ?!

Bad Feeble a écrit:

Oui, c'est bien ça.

Alors, tu n'as pas encore vu ?!

je m'incruste juste un peu dans la convesation juste pour dire que je trouve que Cabin Fever était l'arnaque du siécle!!!!
Mais hostel par rapport à ça?

La 2e partie d'Hostel comporte une ambiance assez glauque, un peu à la SAW. Puis c'est tres violent. La première partie par contre, on n'est pas loin d'une ambiance un peu à la AMERICAN PIE. C'est assez particulier... Lorsque vous le verrez chercher bien l'hommage à ZOMBIE 2 de Fulci.

Bad Feeble a écrit:

Oui, c'est bien ça.

Alors, tu n'as pas encore vu ?!

Si, vu à Gérardmer également, en présence de Roth.
Alors ce n'est effectivement pas la bombe attendue, c'est sympa, mais c'est léger comme une galette de riz soufflé. Je ne sais plus si c'est toi qui a dit ça: si tu n'as vu que SCREAM, tu vas te prendre une baffe dans la face, sinon...." Et c'est très très juste. Roth pousse pas mal le bouchon côté hémoglobine, mais malgré cela, et malgré les efforts visiblement déployés, jamais le film ne dégage une ambiance malsaine. Ca reste très fun, rigolo et décontracté, exactement à l'iage de son auteur. Du coup, je suis un peu déçu, et je préfère définitivement CABIN FEVER.

Pourtant moi je l'avais trouvé tout pourri moi Cabin Fever alors ce que tu dis m'inquiéte Kérozène! :pale:

kitano jackson a écrit:

Pourtant moi je l'avais trouvé tout pourri moi Cabin Fever alors ce que tu dis m'inquiéte Kérozène! :pale:

ben chacun son truc
Perso j'ai adoré, je trouve qu'il fait superbement la nique aux films d'ados en caricaturant superbement ces imbéciles. Si SCREAM ou UURBAN LEGEND les montre comme des bons vivants attachants, CABIN FEVER les dépeint comme des gros cons au QI d'huitres. Et j'ai trouvé ça follement appréciable
mais si tu l'as trouvé tout pourri, ne perd pas ton temps avec HOSTEL....

Kerozene a écrit:

kitano jackson a écrit:

Pourtant moi je l'avais trouvé tout pourri moi Cabin Fever alors ce que tu dis m'inquiéte Kérozène! :pale:

ben chacun son truc
Perso j'ai adoré, je trouve qu'il fait superbement la nique aux films d'ados en caricaturant superbement ces imbéciles. Si SCREAM ou UURBAN LEGEND les montre comme des bons vivants attachants, CABIN FEVER les dépeint comme des gros cons au QI d'huitres. Et j'ai trouvé ça follement appréciable
mais si tu l'as trouvé tout pourri, ne perd pas ton temps avec HOSTEL....

Ok je crois que je vais tenir compte de ce conseil!!merci.

Finalement, je ne suis pas seul avec une appréciation négative d'HOSTEL, mais non, ce n'est pas moi qui t'as formé la belle phrase faisant référence à SCREAM. En tout cas, Roth s'est lâché lousse dans le recollage de scènes de films asiatiques en nous ennuyant avec un manque d'ambiance. Dommage.

En même temps c'est Eli Roth alors bon.....