seven swords aka Chat gim - Tsui Hark avec Donnie Yen, Leon Lai, Charlei Yeung, Hong Kong, 2005
Chine, 17ème siècle. L'empereur émet un décret qui interdit la pratique des arts martiaux. Une véritable armée de mercenaires sous le commandemant du général Fire-Wind décapite des villages entiers pour récolter la récompensse promise pour chaque tête, n'hésitant pas à inclure femmes et enfants. Fu, ancien tortionnaire repenti décidera de protéger le village qui l'a acceuilli en appelant les sept lames mythiques, maniées par 5 maîtres en armes et deux des villageois.
Film à grand déploiement pour un Tsui Hark qui a retrouvé une grande partie de sa poésie guerrière. Avec des costumes et décors aux tons presques monocrhromes et des combats épiques qui font appel aux artifices du genre, Seven Swords livre la marchandise. Entre les morceaux de bravoure, il y a peut-être trop de mélodrames sous forme d'amours naissants à mon goût et la sous-intrigue du traître s'étire trop longtemps, mais on retiens les formidables combats, particulièrement Donnie Yen et Leon Lai dans un étroit couloir de pierre. Une version Tsui Hark des sept mercenaires qu'il fait bon voir.
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Mario aka Blanc Citron