Une équipe de scientifiques essaie de contrôler le climat sur une île perdue. Les effets secondaires sont spectaculaires, des mantes religieuses atteignant des proportions gigantesques. Ces mates vont déterrer un oeuf de Godzilla qui va laisser sortir un godzilla nouveau né. Heureusement Godzilla est dans les parages pour le protéger et faire son éducation, sinon le petit court la galipote avec la jeune sauvageonne de l'île. Lorsque la gigantesque araignée KUMONGA arrive dans le décor tout se précipite et se corse.
Avec le plus laid des costumes de Godzilla et un fils en caoutchouc encore pire, il reste un petit film rigolo sans prétention. On apprécie spécialement les leçons de vie de Godzilla qui apprend à son fils illégitime à cracher son feu atomique, leçons qu"'il aura oublié dans les films suivants ! La finale est touchante et réussit presque à émouvoir par sa sérénité et le triomphe des nobles sentiments paternels évoqués. La musique de Masaru Sato est enjouée, le thème de Minya est particulièrement rococo, mais l'ensemble est dans le ton. Mario Giguère
Vraiment trop cucu ce Godzilla là, non vraiment... Heureusement qu'il y a les mates et les araignées, parce que ce n'est pas trop le Godzilla qu'on connaît autrement. Kerozene
Le plus pissant des Godzi! Les effets sont cheesy -- voire la passe où l'indigène lance des oranges à Minya --, et les monstres sont oh-so-cool, malgré leurs manque de mobilité! Et ce son que fait Minya... un espèce de "wagwaa!", reste encore aujourd'hui ancré dans mon vocabulaire cinématographique. Humanoidzombie