Nombre de messages : 6039 Age : 67 Localisation : Québec Date d'inscription : 15/01/2006
Sujet: The DEATH RAY OF DR MABUSE - 1964 Mar 19 Jan - 9:59
The DEATH RAY OF DR MABUSE aka Dr Mabuse et le Rayon de la Mort du Dr Mabuse aka Die Todesstrahlen des Dr. Mabuse - Hugo Fregonese & Victor De Santis avec Peter van Eyck, O.E. Hasse, Yvonne Furneaux, Rika Dyalyna, Robert Beatty, 1964, Allemagne, Franc, Italie, Malte, 90m
Le Major Anders est un agent secret britannique qui a pour mission d'enquêter sur le Professeur Larsen. Larsen s'apprête à terminer un engin capable de détruire n'importe quelle ville sur Terre grâce à un rayon de la mort. Évidemment, il est important que le Dr Mabuse n'arrive pas à s'en emparer. Arrivé sur l'île ou Larsen réside et travaille, accompagné par Judy parce que soi-disant un célibataire se ferait trop remarquer, Anders est surprit de se rendre compte que pratiquement tout le monde le connait. C'est le moindre de ses soucis car Mabuse envoie ses hommes et ses femmes pour avoir le champ libre.
Je croyait naïvement que la saga de Mabuse était plus longue, au cinéma du moins. Si elle s'étire dans le temps, les années 60 ne voient que six films sortir et puis bonsoir. Le coffret dvd américain d'Image Entertainment n'en offre que trois, dont celui-ci, le dernier. Contrairement à James Bond, qui conserve toujours son héros et change de vilain, Mabuse est le vilain et ses adversaires changent. Le Major Anders, interprété par Peter Van Eyck, est plus vieux que Lex Barker d'à peine six ans, mais n'est pas aussi impressionnant niveaux combats ou de ses relations avec les dames. Il soupçonne tout le monde, sachant que Mabuse peut se faire passer pour n'importe qui, mais se trompe souvent de cible. Malgré un scénario sans temps morts, une réalisation correcte, l'ensemble ne lève pas aussi haut que les premiers efforts et les scènes sous-marines ne sont guère excitantes. On note la présence appréciée d'Yvonne Fourneaux, vedette de La Hammer et de Yôko Tani, vue dans plusieurs films d'espionnage et dans Rashomon. Mario Giguère