Nombre de messages : 6045 Age : 67 Localisation : Québec Date d'inscription : 15/01/2006
Sujet: RINGS aka The Ring: Rebirth 2017 Jeu 30 Avr - 10:18
RINGS aka The Ring: Rebirth - F. Javier Gutiérrez avec Matilda Lutz, Alex Roe, Johnny Galecki, Vincent D'Onofrio, 2017, États Unis, 2017, 102m
Dix ans après les évènements des deux premiers films, un jeune homme qui a regardé la vidéo de Samara a cru que, se retrouvant en avion au moment ou elle devait le tuer, il s'en tirerait, sans succès, on se rappelle que c'est dangereux les malédictions. Deux ans plus tard, le professeur Gabriel Brown achète un vieil appareil vhs avec un lot de cassettes. Vous me suivez ? Julia et Holt doivent se séparer, lui s'en va étudier pendant qu'elle s'occupe de sa mère malade. Lorsque Holt ne donne plus signe de vie, Julia va se rendre au collège ou il étudie, avec le professeur Brown, qui a débuté un Protocol ou il demande à ses étudiants de regarder la cassette qu'il a transféré en fichier vidéo. Pour sauver Holt, qui a vu le fichier de Samara, elle le regarde, le fichier vidéo. Mais elle voit des scènes inédites. Du code caché à l'intérieur du code vidéo. Des images du futur qui l'amène à enquêter sur les origines de Samara.
On ne verra pas souvent, sauf en final, cette Samara, se concentrant sur la mère et le père biologique de Samara. On est loin, très loin des aventures japonaises de Sadako. On est encore dans une enquête menée par une innocente impliquée malgré elle, cette fois sans le recours ou presque de personne, vu qu'elle est très débrouillarde. Julia a cependant peu de flair, car on devine facilement d'ou et de qui viendra les problèmes. Malgré un début prometteur, on ne sait pas trop ou nous mènera cette histoire de Protocol, le scénario laisse l'idée rapidement de côté. On laisse aussi de côté l'idée de nous faire peur, glissant dans l'enquête d'un amateur, chère à des réalisateur plus connus tel Hitchcock. Si les acteurs jouent bien leur jeu, la musique est très conventionnelle et l'ensemble de la réalisation risque de ne pas offrir bien des souvenirs impérissable à l'amateur le moindrement chevronné. Le final est particulièrement prévisible. Bien dommage, tout cela. Mario Giguère