Le prochain Rollin est florentin!

Citation :

Bah, bah, ils sont des hypersensibles, des écorchés vifs…

À l'heure qu'il est, tu dois avoir reçu un premier chargement de photos, Mario.

Ou, et il est en ligne, allons voir Tanaquil, Ovidie et Rollin !

http://www.clubdesmonstres.com/jeanrollinmovie.htm

Ovidie, elle, donne son point de vue ici

http://ovidie.vcomblog.com/actualites/index.htm

Salivez, salivez, il en restera toujours quelque chose.

Ciao, Belli!

intéressant, elle parle d'une atmosphère difficile, j'espère que tout a bien été pour toi

Les cires anatomiques se sont révoltées. Elles ne tenaient plus en place.

pollux a écrit:

Les cires anatomiques se sont révoltées. Elles ne tenaient plus en place.

Pollux a tout juste, comme d'hab.

Ah ah , je répète, il faut visiter le site internet de Specola, les cires sont superbes. Si ca adonne j'irai bien visiter un de ces jours... et l'idée de base est bonne, au lieu de toujours disséquer des cadavres ! Avant-gardistes ces Italiens, oui messieurs dames !

Tout à fait. D'ailleurs, on voit bien que ce cadavre-ci n'est pas italien (celui à gauche):

Et cet amateur de cadavres exquis à droite est nul autre que Pollux, pour ceux qui ne le connaîtraient pas !

C'est tellement ancien que j'ai presque l'air pubère là-dessus! 1999, ma première virée en Belgique. J'avais été invité (Tanaquil itou) à une rétrospective de la littérature fantastique.

En ce moment, je commence à ressembler à mon joyeux compagnon.

Il était si craquant, ton joyeux compagnon! La preuve…



et ce malgré la cour empressée d'un autre dangereux rival



Crédits photographiques: Pollux, qui, comme les meilleurs Chianti, se bonifie au fil des années…

Texte et photos exclusives du tournage maintenant en ligne, Tanaquil en fond d'écran au Musée de Specola, merci à Jean Rollin, Véronique Djaouti- Travers et Serena !

http://www.clubdesmonstres.com/jeanrollinmovie.htm

Très joli texte Tanaquil, on sent bien le travail et le cheminement de la comédienne

Stelvio

Merci, Stelvio!

Pour ce qui en est de la comédienne, le cheminement fut modeste, quant au texte, je viens d'y relever d'horribles coquilles dont je suis la responsable et que je viens de signaler, confuse et honteuse à Mario qui a fait unn boulot for-mi-double!

Je le lui ai déjà dit en privé, mais je tiens à le lui hurler en public: Mario, bravissimo! Grazie mille!

Tout le plaisir est pour moi et les lecteurs !

Grazie

Très belle page, ça, Mario! Du coup, on a hâte à la sortie du film.

Chers amis, coucou!

Non, je ne vous oublie pas, mais je travaille d'arrache-pied à la deuxième mouture du roman co-écrit avec Pollux. D'ailleurs, je me remets à son peaufinage (celui du roman, bien sûr), sinon mon collègue va m'enchaîner à ma planche à repasser et me fouetter jusqu'au sang.

À bientôt, avec de nouvelles photos du tournage rollinien!

Baci

Tanaquil et ses bébés monstres cireux





Crédits photo: Véronique Djaouti-Travers pour Les Films ABC 2006

Petite qiestion quand même :
Pourriez-vous nous donner une petite idée du rôle que vous tenez... Vous n'en lâchez pas un mot...!

De mot, je n'en lâcherai pas un seul, hormis le fait que mon rôle a inspiré ce très beau montage à Véronique Djaouti-Travers



Pour peu, je me prendrais pour une tete d'affiche…

Il va sortir quand ce bijou ?

Bonne question, à laquelle il est difficile de répondre, car ledit bijou est toujours en cours de tournage: si mes renseignements sont bons, Jean Rollin et son équipe en ont encore pour deux bonnes semaines, entre Limoges et Paris.

En attendant d'en savoir plus, dans les heures qui viennent, je vais envoyer d'autres images inédites à notre vaguemestre: attachez vos ceintures (de chasteté)!

Chers amis, bonsoir.

En ce jour six du sixième mois de l'an six, mademoiselle Fosca de la Specola a décidé de se déshabiller pour vous:





À vos beaux reves!

Elle pourrait quand même se faire couper les pointes !

Ca me fait penser à une époque lointaine ou Bo Derek était une icone de beauté, un ami nous rappelait souvent que si on était transparent, on verrait la marde se former dans son corps pendant qu'ele nous parlerait...