Nombre de messages : 6045 Age : 67 Localisation : Québec Date d'inscription : 15/01/2006
Sujet: ANNABELLE - 2014 Dim 25 Mar - 14:51
ANNABELLE - John R. Leonetti avec Ward Horton, Annabelle Wallis, Alfre Woodward, 2014, États Unis, 99m
John Form a trouvé le cadeau parfait pour son épouse Mia, elle qui collectionne les poupées et qui attend son premier enfant: une poupée de collection qu'elle recherchait depuis longtemps. Dans leur maison, le couple est attaqué par les membres d'une secte satanique. Sans qu'ils s'en rendent compte, une goutte de sang est versée sur la poupée. Ils déménagent et un docteur a fortement suggéré à Mia de garder le lit et de se reposer, mais des phénomènes paranormaux s'accumulent dans l'appartement. Par surcroit, Annabelle change de position et de place sans qu'on la touche. Une blessure sur un bras est identique à un signe ésotérique marqué au sang sur un mur de leur maison lors de l'attaque. Mia, bouquinant pour tenter de trouver des réponses à ses questions, rencontre Evelyn, qui l'amènera à comprendre bien des choses. Annabelle ne lâche pas prise, surtout pas après la visite d'un prêtre.
Aucune prétention cette fois-ci, l'histoire d'Annabelle racontée dans ce film est complètement fictive. Comme le succès a été au rendez-vous, cette approche a peut-être libéré James an qui s'est permit d'inventer à son tour dans The Conjuring 2. Leonetti n'est pas James Wan. Les acteurs n'ont rien du charisme et de l'empathie que nous inspirait les acteur choisis par Wan. Gary Dauberman au scénario allait se reprendre de belle manière avec la reprise de IT, mais ici il offre un tempo bien lent et peu de véritables tension. La poupée en titre bouge et c'est pas mal tout. C'est à se demander si l'apparence de la véritable, gardée par le couple Warren, au look innocent d'une Raggedy Ann, n'aurait pas été un meilleur choix. De quoi s'ennuyer de James Wan. J'ai carrément trouvé le film long. Je n'ai fait qu'un seul saut, dans une scène carrément pigée au film de Mario Bava: Shock. On me souffle à l'oreille que la suite, Annabelle Création, est meilleure. Mario Giguère