Kerozene
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| Sujet: THE GLAMOROUS LIFE OF SACHIKO HANAI - Mitsuru Meike, 2004, J Jeu 6 Juil - 7:39 | |
| THE GLAMOROUS LIFE OF SACHIKO HANAI - Mitsuru Meike, 2004, Japon aka: HANAI SACHIKO NO KAREI NA SHÔGAI Sachiko Hanai est une jeune fille un rien délurée qui donne des cours privés aux étudiants largués. Mais chaude comme la braise et nympho jusqu'au bout des tétons, la cochonne finit toujours par s'envoyer en l'air avec ses élèves incapables de résister à l'appel du sexe. Il faut dire qu'elle fait tout ce qu'il faut pour rendre dingue n'importe quel mâle hétéro. Un soir, dans un bar, alors qu'une transaction frauduleuse tourne mal, Sachiko prend une balle en plein front. Sonnée, le fille se relève et sort en titubant du bistrot en emportant malgré elle l'objet de la rixe: une réplique de l'index de George W. Bush! Après s'être fait tringlée par un flic opportuniste, elle découvre le trou au milieu de son front et y enfonce un stylo. Ce dernier pousse la balle au centre de son cerveau et fait exploser le QI de notre gloutonne du sexe. Sachiko devient alors avide de science, de culture et de philosophie et allie alors éducation avec parties de jambes en l'air à un rythme époustouflant. Mais à ses trousses se trouve un agent secret coréen prêt à tout pour mettre la main sur le fameux doigt... THE GLAMOROUS LIFE OF SACHIKO HANAI est en réalité la version longue (93 minutes) de HORNY HOME TUTOR: TEACHER'S LOVE JUICE (2003, 65 minutes). Le scénario de ce pinku totalement déjanté est signé Takao Nakano, le réalisateur de KILLER PUSSY et de la série EXORSISTER bien connue des amateurs de déviances filmiques nipponnes. Mais si comme les films de Nakano, TGLOSH est du pur bricolage trash qui transpire le système D, celui de Meike a l'avantage d'avoir été tourné sur pellicule, ce qui est appréciable avouons-le, même si je n'ai rien contre la DV... Et Meike est plus généreux que Nakano quand il s'agit de livré des scènes érotiques. En effet, les scènes cochonnes pullulent dans TGLOSH, ne laissant aucun répit au spectateur qui va endurer 93 minutes durant une érection quasi non stop. Car même si l'actrice Emi Kuroda n'est pas plastiquement la plus bandante des filles, elle dégage une aura qui pue le sexe et les cochonneries et prouve avec aisance qu'elle ne connaît pas le sens du mot pudeur. Et si l'érectomètre est souvent au top, on oublie pas non plus de se marrer franchement avec des ingrédients déjantés tels que: un doigt verni aux couleurs patriotiques américaines voler au bout de quelques fils de nylon grossiers, le même doigt violer l'héroïne en étant téléguidé par un George Bush télévisé, un commando de nipponnes obèses, un agent secret violeur, une Sachiko nympho citer Kant et Descartes en se faisant peloter, et finalement avec un pinku dans lequel on voit enfin des foufounes sans cache, avec les poils et tout et tout. Définitivement culte!!! | |
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