Abba
Nombre de messages : 751 Localisation : Outaouais Date d'inscription : 27/10/2006
| Sujet: CURSE OF THE DEVIL - 1973 - Carlos Aured Mar 16 Nov - 20:24 | |
| CURSE OF THE DEVIL - aka l'empreinte de Dracula (France) aka Return of the Werewolf aka The Black Harvest of Countess Dracula aka The Return of Walpurgis. Carlos Aured avec Paul Naschy, Fabiola Falcon et Maritza Olivares, 1973, Espagne/Mexique, 82 min. Le grand Inquisiteur Irenueus Daninsky a fait brûler la comtesse Bathory vivante pour la punir de ses pêchés. Avant de mourir, cette dernière envoie une malédiction à Daninsky et à tous ses descendants. De nombreuses années plus tard, le beau et ténébreux Waldemar Daninsky tire accidentellement sur une paysanne durant une partie de chasse. La communauté gypsies furieuses envoie à Waldemar une jeune paysanne magnifique qui après une nuit torride avec Waldemar, va utiliser un crâne de loup pour blesser Waldemar et ainsi libérer le loup-garou en lui. Il entre dans uen folie meurtrière dont il ignore la provenance et au départ, les massaces sont attribués à un tueur pratiquement invisible. Quand par contre, Waldemar se trouve à tuer une jeune fille avec qui il a eu une aventure, il comprend tout et doit se combattre lui-même pour arrêter les atrocités. Formule habituel d'un film de loup-garou de Naschy. Beaucoup de femmes, le même personnage et le tout dans un film lent mais assez fort sur l'atmosphère. CURSE OF THE DEVIL, un des biens cotés de cette longue série et avec raison. Sans être inoubliable, c'est tout de même très intéressant à regarder, ne serait-ce que pour les très belles eum... présences... des actrices, pas avides de leurs charmes. Néanmoins, malgré une histoire fort simple, on a de la difficulté à s'y retrouver un peu dès le départ, cette idée de malédiction n'est d'ailleurs pas des plus convaincante (La Famille est déjà maudit, faut en plus qu'il se fasse mordre par un crâne pour devenir loup-garou?). Les lieux, les costumes, les acteurs sont tous très bons et très beaux et notre Naschy, bien monolithique impressionne plus poilu qu'avec la peau lisse. On a droit quelques effets bien dégueulasses, mais l'efficacité des meurtres se créent surtout grâce au montage entre les avancées de la bête et les réactions de ses victimes. De voir la créature s'avancer très lentement vers nous, toute prête à nous égorger, la gueule pleine de sang ça m'a donné un petit frisson je vais l'admettre. Le cinéma d'exploitation m'est encore assez obscur, mais de tomber sur un CURSE OF THE DEVIL à ce petit côté rafraîchissant qui fait qu'on apprécie le tout malgré que ce ne soit pas nécessairement très convaincant. | |
|