PRIME EVIL - Roberta Findlay avec William Beckwith, Christine Moore, Mavis Harris, Max Jacobs, 1988, États Unis
On débute en Europe au temps de la peste noire lors de la création d'une secte vouée au culte de Satan. New York, aujourd'hui, les adeptes n'ont pas trop vielli depuis des siècles, grâce à des sacrifices humains commis tous les treize ans. Au tour d'un des membres de se préparer à sacrifier sa petite fille, Alexandra, jeune vierge traumatisée dans sa jeunesse. Elle succombe au charme du prêtre Seaton, prononcer Satan, pendant que des détectives enquëtent sur des disparitions de femmes à la chaîne...
Cheapo thrills, aka production fauchée dans le sens commun: photographie, son, acteurs, scénario plein de trous, rien n'est vraiment à la hauteur en plus de séances sataniques sans nudité, un comble. Il y a à vrai dire seulement William Beckwith, le patron de la secte, qui s'en tire bien. Pour le reste, du vite vu, vite oublié. Ah oui, y a une grosse poupée en caoutchoux mousse qui se prend pour Satan, plus risible que démoniaque. Âmes sensibles n'ont pas besoin de s'abstenir.
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Mario aka Blanc Citron