Mario aka blanc citron Admin
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| Sujet: LE CON ET LA TOUBIB AUX GRANDES MANOEUVRES Jeu 23 Avr - 11:37 | |
| LE CON ET LA TOUBIB AUX GRANDES MANOEUVRES aka La soldatessa alla visita militare - Nando Cicero avec Edwige Fenech, Alvaro Vitali, Renzo Maontagnani, Mario Carotenuto, 1977, Italie/France, 80m Un an après avoir débuté la franchise L'ENSEIGNANTE, Nando Cicero enchaîna avec LA TOUBIB EN DÉLIRE, toujours pour le producteur Luciano Martino, alors marié avec Edwige Fenech, prolifique producteur et frère de Sergio Martino. Si les deux suites de l'éducatrice sexy lui échapppent, c'est peut-être pour monter sa propre trilogie sur le thème de la toubib chez les militaires. À la vue du film on semble confirmer le fétichisme de Cicero pour le postérieur, autant celui des ses actrices que pour les flatulences des ses acteurs mâles ! On a changé de nom, ici Eva Manni, mais on est dans une suite directe, en autant que c'est une jeude docteur dans l'armée, sous les ordres d'un colonel encore joué par Mario Carotenuto. Je ne sait pas si c'est véridique, mais il est questuion des effets secondaires d'une résolution discutée au parlement italien pour inclure les femmes dans le service militaire obligatoire ! Notre Eva exige donc de faire son service militaire, sans succès, mais on consent à la nommer médecin au camp ld'entraînement e plus dingue , le camp Z (référence aux sériez Z ?). Comme elle se fait voler son portefeuille, ce n'est qu'à la 35ème minute qu'elle arrive sur place, un comble et ce ne sera pas sa seule absence. On suit donc la plupart du temps les recrues, spécialement Alvaro, qui décidément change rarement de prénom dans ses rôles, sous la main ferme du colonel Fiaschetta (Renco Montagnani, en forme). Une impoirtante brochette d'acteurs comiques les entourent et on se fixe sur un thème, le cul. Fiaschetta est devenu obsédé et a des hallucinations tournant autour des postérieurs. Alvaro, branleur pathologique y pense toutes les cinq secondes, l'autre docteur du camp verse dans la nourriture un fortifiant remplit de testostérone et de stéroides pour muliplier l'agressivité et la désir des hommes. Ajoutons une recue qui ressemble à un homme des cavernes qui attrape les femmes pour les prendre de gré ou de force ( oui, élevé avec des moutons), l'aumonier qui passe son temps à prendre une douche froide, une plage de nudistes, tout y passe. Eva, bien au fait des besoins de proximité civilisés des soldats, pense à faire venir des paroissiennes célibataires pour danser au petit bal hebdomadaire, au moment ou Fiaschetta veut faire venir des prostituées. On voit venir l'éorme quiproquo ! Co-production Italie-France, on se demande si la présence réduite de Miss Fenech est dûe à des demandes trop élevées ou à un calendrier trop chargé. Elle enchaîne ou tourne en même temps LA GRANDE BATAILLE, ou elle a un rôle tout aussi réduit. Les scénaristes, dont Cicero fait toujours partie, n'ont pas de véritable histoire à raconter et enfilent les situations et gags rapidement, quitte à terminer n'importe comment. On pense au final de TAXI GIRL, tourné par Tarantini, qui terminait également en queue de poisson rocambolesque et absurde. Il faut donc apprécier un bin les blagues de flatulences et autres exploits d'Alvaro qui, comme à son habitude, met son arrière-train au service de gags gras. Une intrigue de tunnels qui sont soupposés mener on ne saura jamais ou s'étire pas mal. Évidemment toutes les présences de Miss Fenech, qui immortalisera son personnage sur une célèbre couverture de la version italienne de Playboy, sont remarquées. La scène de douche ne tarde pas et elle est évidemment attirée par le pire des spécimens masculins, c'est du cinéma ! Piero Umiliani, bien connu pour son rigolo Mah na Mah Na, rempile, mais on entends peu souvent son thème fort agréable. Inégal, on s'en doute, gras et con, c'est de cette race de loisir du samedi soir en salles obscures qui va disparaître quelques années plus tard que l'amateur pas trop exigent pourra apprécier. Évidemment que l'accoutumance accroit le plaisir. On a envie de rigoler juste en voyant Alvaro, on a hâte de voir Edwige Fenech jouer les séductrices et toute la bande de seconds couteaux est souvent connue. Éviter de voir après un Bergman. _________________ Mario aka Blanc Citron
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