Mario aka blanc citron Admin
Nombre de messages : 6039 Age : 67 Localisation : Québec Date d'inscription : 15/01/2006
| Sujet: LA FLIC CHEZ LES POULETS Mar 3 Mar - 12:50 | |
| LA FLIC CHEZ LES POULETS aka LE CON ET LA FLIC CHEZ LES POULETS aka La Poliziotta fa carriera aka Bella, valiente y buena aka Das Verrückte Polizeirevier aka Confessions of a Lady Cop aka Politess im Sittenstress - Michele Massimo Tarantini avec Edwige Fenech, Mario Carotenuto, Alvaro Vitali, 1975 - Italie. 93m Gianna Amicucci (Edwieg Fenech) est une jeune femme vivant seule avec son papa et qui passe le plus clair de son temps à regarder des films policier et lire des giallos. Elle ne rêve qu'à devenir policière, plus spécialement détective et résoudre tous les crimes de la ville. Belle et vaillante, elle ne passe el concours d'entrées aux forces de l'ordre que grâce à l'intervention d'un haut gradé qui habite son immeuble. Elle va gaffer rapidement, mais on la garde en pace et on 'essaie, tiens, on lui confie la tâche de retrouyer la mère d'un jeune garçon qui s'enfuir tout el temps de chez les bonnes soeurs ! Quand elle ne court pas après son zizi, un perroquet qui a échappé à son propriétaire, elle se retrouve incognito chez les filles de rue pour trouver la fille-mère. Engagée pour une soirée mondaine ou on lui demande de faire l'amour avec uen grande folle, elle reconnait plus tard un criminel notoire qu'elle poursuivra pus tard en voiture dans une final rocambolesque. Après les comédies d'époque, les Giallos et un drame sur la prostitution qui lui tiens à coeur, Edwige Fenech trouve son premier rôle récurent: La Polizietta ! Suivront rapidement l'Enseignante et la Toubib, des personnages déclinés souvent sous divers personnages, mais ici on commence à suivre la carrière atypique de Gianna, superbe déesse qui ne vit que pour son métier ! Tarantini nous la présente dans un lent traveling sur sa paide de jambes interminables, s'habillant pour espionner le courrier des habitants de l'immeuble. La nudité sera peu présente, une fesse ici, une poitrine là, mais nous ne sommes pas devant les excès à venir, ou les décameron passés. Place à la comédie burlesque et aux cascades, avec un scénario léger, mais qui a de la suite dans les idées. Les personnages secondaires son multiples et ici on retiendra surtout Mario Carotenuto, l'éternel patron bourgeonneux, également aux prises avec les pitreries d.Alvaro Vitali, pas très présent dans ce premier film. Les prétendants de la belle sont au nombre de deux, son pseudo fiancé, entré dans la police uniquement pour impressionner, en vain, la déesse ainsi que le médecin qui habite l'immeuble, qui essaie tant bien que mal de l'ausculter, on en ferait autant. Aucune chance, Gianna, aux courbes à faire damner tout homme à la llibido intacte, n'en a que faire. Le tout est emballé correctement par Tarantini, sur une musique enjouée mais peu mémorable. Ce n'est certainement pas l'exemple type de l'arrivée féminine aux forces de l'ordre, mais on ne pourra pas dire de Gianna qu'elle n'est pas efficace, malgré des méthodes peu orthodoxes. Un spectacle fort léger, moins efficace que les fleurons du genre, mais qui assurera deux suites qui auront leur succès et ou Alvaro Vitali prendra une place beaucoup plus grande. _________________ Mario aka Blanc Citron
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