The Sinful Nuns of Saint Valentine (Sergio Grieco, 1974)

The Sinful Nuns of Saint Valentine aka Le Scomunicate di San Valentino, Sergio Grieco, Italie, 1974. Avec Françoise Prévosts, Jenny Tamburi, Paolo Malco, Bruna Beani et Franco Ressel.

Lucita Fuentes (suberbe Jenny Tamburi) est envoyée dans un couvent lorsque son son père refuse de la voir épouser Esteban. Qui lui, fait parti, d'une famille, les Albornos, que le clan Fuentes sont rivaux depuis des générations. De plus, Don Alonso (le père de Lucita) n'hesite pas à dire à l'inquisition qu'Esteban est un héritique et un meurtrier afin de s'en débarasser. Le pauvre Esteban est alors blessé par les gardes de l'inquisition alors qu'il aillait au couvent pour libérer sa promise. Il trouve, alors, refuge au couvent sans que les religieuses le sachent et essaie de prévoir un plan pour s'échapper lui et sa belle. Pendant son séjour au couvent, il assiste au règne de terreur de la pretresse. Parviendront-ils à s'échapper ou finiront-ils au bucher pour meurtres et hérésie ?

Vaguement basé, selon le générique, d'après un roman de Victor Hugo et visiblement inspiré par Roméo et Juliette, ce film est une petite entrée dans le genre nunsploitation et appartient aussi au film d'époque. La star du film, Jenny Tamburi (vu dans Sette note in nero et Women in Cell Block 7) est une grande beautée et apporte un plus indéniable à cette production. La scène oü elle est attaché et torturée seins nues est d'un grand effet. Le film regorge de quelques bonnes scènes dont celle oü Josefa (Bruna Beani, vu dans Revelations of a Psychiatrist in a World of Perverse Sex et The Eerie Midnight Horror Show) force Lucita à avoir des relations sexuelles avec elle dans le but qu'elle garde le secret de la présence d'Esteban dans le chateau et une scène oü des religieuses sont emmurées vivantes. Il y a quelques seconds rôles amusant dont celui du jardinier qui fait preuve d'un talent comique lorsque ses doigts restent prient dans une porte et qui déclanche le fou rire. Parmis les points forts du film, il y a le chateau qui est d'un magnifque qui a été rarement vu à l'écran. Bref, il ne s'agit certainement pas du meilleur film de Sergio Grieco (connu pour ses thrillers comme Beast with a Gun), ni du meilleur film de nunsploitation, mais l'histoire est agréable à suivre et regorge de petites surprises. Le film passe très bien.

Mouais, pas très convaincu pour ma part...

Voici ce que j'avais écrit à l'époque... ça manque visiblement d'enthousiasme...

Nous somme en Espagne, pendant l'inquisition. Un jeune homme et une jeune fille s'aiment, seulement voila, leur parents ne peuvent pas se voir. Ca rappelle assez vite le récit de Roméo & Juliette, mais dans notre cas, la Juliette est envoyée au couvent et le Roméo est accusé de meurtre et d'hérésie. Par chance, le Roméo se réfugie dans le couvent où il pourra voir sa Juliette en secret. Malheureusement, la mère supérieure monte un sale coup, réussi à faire emprisonner la Juliette, se fait tringler par le Roméo, etc... On apprend ensuite que cette mère supérieure est une véritable mante religieuse, elle consomme les hommes et les assassine froidement. Afin de punir toutes ces sales nonnes, elles sont emmurées dans leur couvent dans le but de les faire crever de faim, de soif et de folie.

Kerozene a écrit:

Mouais, pas très convaincu pour ma part...

Voici ce que j'avais écrit à l'époque... ça manque visiblement d'enthousiasme...

Nous somme en Espagne, pendant l'inquisition. Un jeune homme et une jeune fille s'aiment, seulement voila, leur parents ne peuvent pas se voir. Ca rappelle assez vite le récit de Roméo & Juliette, mais dans notre cas, la Juliette est envoyée au couvent et le Roméo est accusé de meurtre et d'hérésie. Par chance, le Roméo se réfugie dans le couvent où il pourra voir sa Juliette en secret. Malheureusement, la mère supérieure monte un sale coup, réussi à faire emprisonner la Juliette, se fait tringler par le Roméo, etc... On apprend ensuite que cette mère supérieure est une véritable mante religieuse, elle consomme les hommes et les assassine froidement. Afin de punir toutes ces sales nonnes, elles sont emmurées dans leur couvent dans le but de les faire crever de faim, de soif et de folie.

Je venais justement de voir que tu en avais fait une critique. Bah! Ca en fera deux.

Oui, d'autant plus que la tienne est bien plus intéressante...
Elle me donne même envie de revoir le film

Pour ma part, je trouve les 2 critiques interessantes,

Bon, alors j'annonce dans l'ordre que l'on verrra bientôt, la page de policier italien, celle des nuns et puis celle de Damiano Damiani. Ca prendra peut-être quelques jours et puis mes vacances arrivent samedi et je passe presque une semaine à Fantasia, mais j'aurai quelques jours après pour m'y mettre, oui...