Un énorme bateau bolshévique est la proie d'une attaque mystérieuse. Un groupe de marin atterit sur ce même bateau et le trouve entièrement vide. Rapidement, l'idée de ramener ce fameux navire et d'en faire du profit vient à l'esprit des membres de l'équipage. Par contre, il y a un problème. La machinerie du vaisseau et contrôlée par une forme de vie et extraterrestre qui comsidère l'être humain comme étant un simple virus à désinfecter.
Bof, c'est franchement ordinaire, à la limite du mauvais. En fait, j'admet avoir été surpris à quelques occasions par le gore qui en soit s'en tire franchement bien et quelques robots ''Borgs'' à la Star Trek pas mal du tout! Mais pour le reste, va falloir faire mieux. Les effets spéciaux sont vraiment ordinaires, le méchant monstre robot n'impresionne pas, les personnages sont tellement clichés et tellement linéaires qu'on devine d'avance le genre de répliques qu'ils vont sortir. Pourtant ça s'écoute relativement bien mais c'est après le visionnement qu'on se rend compte à quel point le scénario est fade et que c'est un énorme fouilli qui n'a aucun intérêt à être écouté à nouveau
Les commentaires de Orloff sur la page des visionnements
J'ignore qui a réalisé cette bourde et je ne veux surtout pas le savoir. Tout ce que je sais, c'est qu'un autre film de science-fiction pourri trône maintenant sur les sales étagères de nos clubs vidéos. Ça commence avec des éclairs bleus qui viennent tout foutre en l'air dès le début. Thriller techno, avec des robots en vrac, une force de vie qui contrôle toute la technologie d'un bateau soviétique, des cyborgs crétins, un Donald Sutherland capitaine de bateau à moitié crédible, du gore plus ou moins pertinent, des robots géants qui viennent briser l'ambiance, de l'infographie (encore...) de merde qui nous rappelle à chaque apparition que le film que nous regardons est un pur produit de divertissement... Où est la crédibilité là-dedans ? La seule chose de vraie dans ce film, c'est la paire de seins de Jamie Lee Curtis... Même le maori a l'air fabriqué de toutes pièces, c'est tout dire... Orloff